L’actu Séries : Automne 2020
La série qui te jette en prison... mais sans Michael Scofield
« PERDIDA » (La disparition de Soledad)
Distributeur(s) : Antena 3 / Netflix • 11 épisodes, 1 saison • Année : 2020
. Genre: Thriller, drame
Consultable GRATUITEMENT en: VO, VOST-espagnol, VOST-français, VF (interdiction !!!!)
L’espagnol: Accent: castillan / colombien • Registre de langue: standard • Débit: moyen+ • Difficulté : 4/5
Synopsis: Pour retrouver sa fille enlevée treize ans plus tôt, Antonio se fait volontairement incarcérer à la Brecha, la pire des prisons colombienne, déclenchant une série d’événements bouleversants pour de nombreuses personnes.
Bon(s) point(s) attribué(s) pour: la scénario, le rythme et le suspens maintenu jusqu’à la fin • le jeu des acteurs • l’immersion carcérale pour les fans nostalgiques de Prison Break • les ballades entre les villes de Valence (Espagne) et Bogota (Colombie).
Voir les épisodes:
Bande annonce (Netflix)
Bande annonce en VF (Netflix)
Zoom sur les personnalités de la série
Personaje:
Antonio Santos
(Le père de Soledad,
le nouveau Michael Scofield)
. Actor: Daniel Groa
Año de nacimiento: 1976
Origen: Cataluña (España)
1ª serie: El cor de la ciutat
Mayores éxitos: Amistades peligrosas (2006), Amar en tiempos revueltos (2007), Acusados (2009), Luna, el misterio de Calenda (2012), Sin entidad (2014), Gigantes (2018), Hit (2020)
Insta:
Personaje:
Angelita Moreno
(L'avocate pour qui la fin
justifie les moyens)
. Actor: Adriana Paz
Año de nacimiento: 1980
Origen: Ciudad de México (México)
1ª película: Todos los besos (2007)
Mayores éxitos: Rudo y Cursi (2008), La Tirisia (2014), Spetre (James Bond, 2015), La Caridad (2016), El autor (2017), Vis a vis (2018)
Insta:
La mini-série qui te fait un cours d'Histoire et de tolérance
« ALGUIEN TIENE QUE MORIR » (Quelqu’un doit mourir)
Distributeur(s) : Netflix • 3 épisodes, 1 saison • Année : 2020
. Genre: Historique, drame, thriller
Consultable en: VO, VOST-espagnol, VOST-français, VF (interdiction !!!!)
L’espagnol: Accent: castillan / mexicain • Registre de langue: standard • Débit: moyen+ • Difficulté : 4/5
Synopsis: En Espagne, dans les années 1950. Gabino, un jeune homme de bonne famille, revient du Mexique, accompagné d’un danseur de ballet, Lázaro. Sa famille se réjouit de son retour, car elle a déjà prévu de le marier à une riche héritière.
Bon(s) point(s) attribué(s) pour: Le contexte historique : la dictature franquiste • La série aborde l‘homosexualité au temps du franquisme (la condamnation et la répression) et propose une réflexion autour de la tolérance • Les acteurs.
Voir les épisodes:
Bande annonce (Netflix)
Présentation de la série par les acteurs
Zoom sur les personnalités de la série
Personaje:
Amparo Falcón
(La mamie de Gabino
légèrement manipulatrice)
. Actriz: Carmen Maura
Nombre real: Carmen García Maura
Año de nacimiento: 1945
Origen: Madrid
1ª película: Las gatas tienen frio (1970)
Mayores éxitos: La Loi du désir (1987), Femmes au bord de la crise de nerfs (1988), Le bonheur est dans le pré (1995), Volver (2006), Les Femmes du 6e étage (2011)
Premios: Entre otros, Goya de Mejor actriz (1988, 1990, 2000, 2006), Mejor actriz del Festival de Cannes (2006)
César de Mejor actriz secundaria (2012)
Personaje:
Gabino Falcón
(Le seul mec au monde à pas vouloir
se fiancer à Ester Expósito)
. Actor: Alejandro Speitzer
Nombre real: Alejandro Sánchez Speitzer
Año de nacimiento: 1995
Origen: Sinaloa (México)
1ª serie: Plaza Sésamo (1999)
Mayores éxitos: Aventuras en el tiempo (2001), El club (2019), La reina del sur (2019)
Insta:
Personaje:
Alonso Aldama
(Le frère de Cayetana
et qui aime bien son futur beau-frère)
. Actor: Carlos Cuevas
Nombre real: Carlos Cuevas Sisó
Año de nacimiento: 1995
Origen: Cataluña (España)
1ª película: La mujer de hielo
Mayores éxitos: Merlí (2015), El Ministerio del Tiempo (2016), Cuéntame cómo pasó (2016)
Insta:
Juanma
Le prof fun, optimiste, mais un peu exigeant (même avec lui) • Etablissement : Lycée dans le 9-5 • Citation: « El lenguaje nos ayuda a capturar el mundo, y cuanto menos lenguaje tengamos, menos mundo capturamos...» (Fernando Lázaro Carreter)